La nature a des perfections pour montrer qu’elle est l’image de Dieu et des défauts pour montrer qu’elle n’en est que l’image. Quand on qualifie nos dirigeants comme des représentants de Dieu sur Terre, n’oublions pas qu’ils sont aussi bourrés d’imperfections qui justement les maintiennent à l’État humain. La perfection n’est pas du domaine de l’homme, dit-on, mais l’homme doit dompter par sa raison les passions de l’âme pour rester à l’image de Dieu. Surtout quand on dirige ! Surtout un pays.