Lui c’est l’étudiant MOUHAMED THIAM dit Nabi membre PASTEF UCAD. Trouvé dans sa chambre par les nervis et Poignardé de plusieurs coups de couteaux. Il est actuellement en urgence à l’hôpital Principal,Sa situation reste critique!!!Retrait du parti PASTEFMon adhésion au parti PASTEF est le fruit d’un long processus marqué par une imprégnation approfondie des textes réglementaires et des entretiens avec certains responsables de cette entité politique, y compris le leader, Monsieur Ousmane Sonko.Une fois mon adhésion actée et formalisée, je n’ai cessé d’œuvrer dans ce que je sais le mieux faire : la transmission du message, l’explication du projet que je considère comme étant la voie idéale pour mettre le Sénégal et, par ricochet, l’Afrique, définitivement sur les rampes du développement.
J’ai servi ce parti avec dévouement et fidélité, au sein de la plupart de ses plus hautes instances, sur invitation et par cooptation, excepté au Mouvement national des Cadres patriotes (MONCAP).Ce parti m’a donc énormément apporté.Il m’a offert ce qu’il y a de plus important dans la vie d’une personne: une famille, de solides et sincères relations que je souhaite conserver toute ma vie.Cependant, la vie étant une suite d’étapes; chacun y suit sa trajectoire.Un parti politique, une organisation humaine, à l’image de la vie, fonctionne comme un train, avec, naturellement, une locomotive, des wagons et des occupants.Tous ces éléments constituent un ensemble, dont le fonctionnement harmonieux et solidaire, est la condition sine qua non qui permet au train d’arriver à temps et intact à la gare.Toutefois, au fur et à mesure que l’on se dirige vers la principale station, les uns montent, tandis que les autres descendent.Ainsi, c’est avec beaucoup de regret que je vous annonce ma descente du train, mon retrait du parti PASTEF.Mes nouvelles responsabilités professionnelles ne me permettent pas d’honorer mes engagements dans le parti.
N’étant pas le genre de militant dormant, qui traîne les pas, ou qui fonctionne en mode sous-marin, attendant le bon moment pour pointer sa tête hors de l’eau, pendant que des tâches relatives à son domaine de compétences et aux responsabilités à lui confiées sont en souffrance, je préfère me retirer et libérer la place à d’autres personnes plus disponibles.Je continue de soutenir le projet.Je suis convaincu que Ousmane Sonko est animé de bonne foi et il a la ferme volonté de travailler pour le Sénégal.C’est une mission extrêmement difficile.Pour avoir échangé avec lui de manière approfondie, je sais que c’est un homme qui a de nobles intentions pour ce pays.Il aura besoin de femmes et d’hommes intègres, sérieux, engagés et conscients des exigences du projet patriotique dont il est le porte-étendard.Un tel projet exige, en conséquence, de nombreux sacrifices menés par des femmes et des hommes concentrés à tout moment et en toutes circonstances, qui ne sont nullement préoccupés par les postes et la jouissance du pouvoir.À l’image des grandes révolutions anciennes et contemporaines, chacun, de son côté, à l’endroit où il se trouve, peut y participer.